Vers une juste affirmation de soi

Ce mouvement ajusté peut être contrarié par l’un ou l’autre de ces fonctionnements:

– la dépendance au regard de l’autre: Qu’est-ce qu’elle va penser de moi si … ?

– le volontarisme: Coûte que coûte, il faut que j’y arrive …

– l’indécision: je ne sais pas … mais peut être que … enfin …

– la justification: oui, mais c’est à cause de …

– la culpabilisation: je le savais, je suis vraiment nul, c’est de nouveau moi qui ai tout fait râter …

– la survalorisation: Je te l’avais bien dit ! Tu vois si tu m’écoutais plus souvent … j’ai raison comme d’habitude

– la compensation de manque: j’ouvre le frigo et j’avale ce qui me tombe sous la main … un verre de vin, allez encore un …

– l’imagination de choses non vérifiées: Quand j’ai vu sa tête,  je me suis dit qu’il était en colère contre moi, que j’ai surement encore dû oublier de faire quelque chose …

 

Parmi ces fonctionnements, lequel est votre plus grand piège ?  Vous avez trouvé ?

Qu’est-ce qui vous aide à en sortir ?

 

Ce qui m’aide à en sortir, c’est tout d’abord de repérer que je suis pris au piège, que je suis mené par ce fonctionnement, que ce n’est plus moi qui conduit, qui suis au commande de ma vie. Je suis alors mené, comme guidé par ce fonctionnement qui me fait poser tel ou tel acte. Oui, c’est le premier pas, en prendre conscience !

Ensuite, c’est de me recevoir comme cela, c’est à dire me rendre à ce réel là. Et donc éviter le piège de m’en vouloir de cela et donc de me culpabiliser de ne pas être parfait, de ne pas être plus fort …

Me reconnaître et m’accepter ainsi m’aide à me poser, me détend, et je retrouve alors ma simplicité et ma liberté. Je peux à nouveau faire des choix plus en adéquation avec qui je suis, avec mes valeurs. Je me retrouve à m’affirmer de manière plus ajustée et vraiment, j’aime cela. Pas vous ?

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